Le traducteur d'édition traduit des textes variés rédigés dans une langue étrangère dans sa langue maternelle.
Devenir Traducteur d’Édition
Le traducteur d'édition traduit des textes variés rédigés dans une langue étrangère dans sa langue maternelle.
être traducteur, c’est quoi ?
Le traducteur d’édition est chargé de traduire des textes destinés à être publiés. Il doit avoir une maîtrise parfaite de la langue source du texte à traduire et de la langue cible dans laquelle il travaille. Il doit respecter le style, la sensibilité et la pensée de l’auteur, et pour cela, il doit être douée en expression, étant lui-même considéré comme un « auteur ».
Une connaissance approfondie des cultures sources est également essentielle pour réussir ce travail de lecture, d’écriture et de correction, qui exige une grande rigueur et une grande autonomie.
Le traducteur d’édition est chargé de traduire des textes destinés à être publiés. Il doit avoir une maîtrise parfaite de la langue source du texte à traduire et de la langue cible dans laquelle il travaille. Il doit respecter le style, la sensibilité et la pensée de l’auteur, et pour cela, il doit être douée en expression, étant lui-même considéré comme un « auteur ».
Une connaissance approfondie des cultures sources est également essentielle pour réussir ce travail de lecture, d’écriture et de correction, qui exige une grande rigueur et une grande autonomie.
Les compétences essentielles
Le marché du travail
Certains traducteurs peuvent vivre exclusivement de leur activité s’ils parviennent à traduire environ 6 ou 7 livres par an. Les opportunités de travail varient selon les langues : les spécialistes de l’anglais sont par exemple déjà nombreux sur le marché.
L’entrée dans ce métier demande de la patience et de la ténacité, car les maisons d’édition ont tendance à solliciter en priorité les professionnels qu’elles connaissent. Les débutants doivent être prêts à travailler sur différents types de textes pour se faire connaître, avant de se spécialiser avec l’expérience.
Certains traducteurs peuvent vivre exclusivement de leur activité s’ils parviennent à traduire environ 6 ou 7 livres par an. Les opportunités de travail varient selon les langues : les spécialistes de l’anglais sont par exemple déjà nombreux sur le marché.
L’entrée dans ce métier demande de la patience et de la ténacité, car les maisons d’édition ont tendance à solliciter en priorité les professionnels qu’elles connaissent. Les débutants doivent être prêts à travailler sur différents types de textes pour se faire connaître, avant de se spécialiser avec l’expérience.
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Quel niveau de formation ?
Une formation Bac + 5 est nécessaire pour devenir traducteur d’édition. Plusieurs universités et écoles supérieures proposent des formations adaptées telles que des master, ou des formations post-master. En amont de ces formations supérieures, une licence de langues ou en lettres est le cursus le plus conseillé.
Une formation Bac + 5 est nécessaire pour devenir traducteur d’édition. Plusieurs universités et écoles supérieures proposent des formations adaptées telles que des master, ou des formations post-master. En amont de ces formations supérieures, une licence de langues ou en lettres est le cursus le plus conseillé.
Comment devenir traducteur ?
Le salaire d’un traducteur
En début de carrière, le salaire du traducteur d’édition est souvent inférieure au SMIC brut mensuel, mais en fin de carrière, il peut espérer gagner entre 4000 et 5000 euros brut. Le traducteur travaille sur des « commandes » de clients tels que des maisons d’édition. Sa rémunération est généralement proportionnelle à la longueur du texte.
Il peut également recevoir un « à-valoir » en avance sur les droits d’auteur, dont le montant varie en fonction des modalités du contrat signé avec l’éditeur. Si le volume d’activité est faible, la rémunération de ce professionnel peut être inférieure au SMIC.
En début de carrière, le salaire du traducteur d’édition est souvent inférieure au SMIC brut mensuel, mais en fin de carrière, il peut espérer gagner entre 4000 et 5000 euros brut. Le traducteur travaille sur des « commandes » de clients tels que des maisons d’édition. Sa rémunération est généralement proportionnelle à la longueur du texte.
Il peut également recevoir un « à-valoir » en avance sur les droits d’auteur, dont le montant varie en fonction des modalités du contrat signé avec l’éditeur. Si le volume d’activité est faible, la rémunération de ce professionnel peut être inférieure au SMIC.