L'art du bijoutier réside dans la mise en forme et "en beauté" du métal, celui du joaillier consiste surtout à valoriser les pierres précieuses dans des montures discrètes.
Devenir Bijoutier Joaillier
L'art du bijoutier réside dans la mise en forme et "en beauté" du métal, celui du joaillier consiste surtout à valoriser les pierres précieuses dans des montures discrètes.
être bijoutier, c’est quoi ?
Un bijoutier joaillier façonne des métaux précieux à la main pour créer, réparer et transformer des bijoux et accessoires. En bijouterie fantaisie, il utilise divers matériaux et méthodes industrielles. Il doit savoir dessiner, façonner à la main le métal, monter les pierres, perles et autres pièces de manière solide et discrète. La créativité, la minutie et la dextérité manuelle sont nécessaires avec une bonne connaissance des matériaux.
Un bijoutier joaillier façonne des métaux précieux à la main pour créer, réparer et transformer des bijoux et accessoires. En bijouterie fantaisie, il utilise divers matériaux et méthodes industrielles. Il doit savoir dessiner, façonner à la main le métal, monter les pierres, perles et autres pièces de manière solide et discrète. La créativité, la minutie et la dextérité manuelle sont nécessaires avec une bonne connaissance des matériaux.
Les compétences essentielles
Le marché du travail
Le secteur de la bijouterie, de la joaillerie et de l’orfèvrerie en France est renommé à travers le monde, ce qui permet à ces activités, notamment la production, de survivre malgré la diversification des métiers. 2 050 entreprises forment ce secteur. Elles emploient 18 000 salariés, et sont concentrées principalement en Ile-de-France, Rhône-Alpes et dans la région Sud. Cependant, la production en série de bijoux fantaisie, l’importation de produits étrangers et une distribution plus large ont fortement impacté la bijouterie joaillerie traditionnelle et artisanale.
Le secteur de la bijouterie, de la joaillerie et de l’orfèvrerie en France est renommé à travers le monde, ce qui permet à ces activités, notamment la production, de survivre malgré la diversification des métiers. 2 050 entreprises forment ce secteur. Elles emploient 18 000 salariés, et sont concentrées principalement en Ile-de-France, Rhône-Alpes et dans la région Sud. Cependant, la production en série de bijoux fantaisie, l’importation de produits étrangers et une distribution plus large ont fortement impacté la bijouterie joaillerie traditionnelle et artisanale.
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Quel niveau de formation ?
L’apprentissage auprès d’un professionnel et une formation continuent sont les meilleurs moyens d’accéder et de se perfectionner en bijouterie. Le CAP dédié donne les bases techniques pour devenir bijoutier joaillier. Les CAP spécialisés dans l’orfèvrerie peuvent aussi être une option de formation. Pour travailler chez un artisan et s’installer, il faut continuer la formation professionnelle pour obtenir la Mention Complémentaire (CAP) ou choisir les arts appliqués pour se concentrer sur la création et l’art.
L’apprentissage auprès d’un professionnel et une formation continuent sont les meilleurs moyens d’accéder et de se perfectionner en bijouterie. Le CAP dédié donne les bases techniques pour devenir bijoutier joaillier. Les CAP spécialisés dans l’orfèvrerie peuvent aussi être une option de formation. Pour travailler chez un artisan et s’installer, il faut continuer la formation professionnelle pour obtenir la Mention Complémentaire (CAP) ou choisir les arts appliqués pour se concentrer sur la création et l’art.
Comment devenir bijoutier ?
Le salaire d’un bijoutier
En début de carrière, les salaires d’un ouvrier salarié débutent entre SMIC et 2000€ brut/mois, pouvant atteindre 6000€ brut/mois en fin de carrière. Les salaires varient en fin de carrière en fonction du statut (employé ou artisan), de la maîtrise personnelle du métier, et du type de clientèle et production.
Au début de sa carrière, le salaire d’un accessoiriste se situe à un niveau inférieur au SMIC brut par mois. Il peut espérer gagner entre 2000 et 3000 euros brut en fin de carrière. Dans le secteur du spectacle (cinéma, théâtre…), le statut de salarié permanent est rare. Celui d’intermittent du spectacle est le plus fréquent. Les « embauches » se font au coup par coup, pour répondre aux besoins d’un projet (spectacle, film, tournée…). La rémunération peut donc être très irrégulière dans le temps et représenter un montant mensuel moyen inférieur au Smic.
